Marie Amyot et sa famille
Recevez toute l’expression de notre sympathie pour le décès de Dominique. Puissiez-vous trouvez du réconfort dans le souvenir des moments heureux partagés avec elle.
À Montréal-Nord, le 14 juillet 2018, à l’âge de 54 ans, est décédée Mme Dominique Amyot, épouse de M. Gilles Gallant. Outre son époux, elle laisse dans le deuil ses enfants Marc-Antoine, Pascal, Samuel, Myriam et François, ses frères et sœurs Lucie (Pierre), Georges (Gaétane), Byrne (Lise), Gaston (Christine), Charles (Carole), Marie et Elise (Marc), sa belle-mère Monique (Jean-Paul), ses beaux-frères et belles-sœurs Denise (André) et Sylvie (Réal), ses neveux et nièces, ainsi que plusieurs parents et amis.
La famille vous invite à se joindre à eux, le vendredi 20 juillet 2018, pour une soirée Hommage et Prières en l'honneur de Dominique, en l’église Saint-Vincent-Marie-Strambi (10815 Avenue Armand Lavergne, Montréal-Nord, H1H 3P3) de 19 h à 21 h. L'accueil se fera à partir de 18h30.
Les condoléances en présence du corps auront lieu le samedi 21 juillet de 13h à 15h, en l’église Saint-Vincent-Marie-Strambi (10815 Avenue Armand Lavergne, Montréal-Nord, H1H 3P3). Les funérailles suivront à 15h.
L’inhumation aura lieu le lundi 23 juillet 2018 à 13h30 au cimetière Notre-Dame-de-Belmont (701, ave Nérée-Tremblay, Québec, QC, G1N 4R8)
Recevez toute l’expression de notre sympathie pour le décès de Dominique. Puissiez-vous trouvez du réconfort dans le souvenir des moments heureux partagés avec elle.
Nous pensons à vous de tout coeur. Que jésus vous protège dans cette épreuve moi qui a connu Dominique en 1991 je l'ai toujours apprécié et puisque je suis loin je penserai à vous tous.
Pour moi ce couple était très proche mais je pense à vous tous et elle vous guidera d'en haut.
Un des grands services l'an passée il nous a aidé dans un projet dans l'évangélisation.
Que la vierge Marie soit présente pour vous et je peux vous dire que vous êtes une famille unis.
Union de prière
Je suis de tout cœur avec toi en ce moment difficile.
Toutes mes condoléances à ta famille.
Que la paix et la force soient avec vous!
De ta collègue Isabelle.
Quelle triste nouvelle, nous sommes de tout coeur avec vous dans cette épreuve.
Sylvie Laniel, Yvan, Yannick et Dominic Brousseau
Bonjour Gilles,
Mes sincères sympathies à vous et votre famille. Malgré la douleur qui peut vous accabler, je prie pour que vous puissiez vivre la perte de Dominique dans la paix de Dieu, car tout n'est pas terminé.
Bon courage.
À vous tous qu'elle a aimés et qui l'avez aimée, nos plus sincères condoléances! Nous garderons de Dominique un souvenir ému!
Louise MacDonald et Michel Charest
Québec
Chers Gilles et à vous chers enfants de Dominique,
J'ai connu votre mère et ton épouse, Gilles alors que je commençais mes études à l'école secondaire au collège Jésus-Marie. Nous nous sommes rapidement liées d'amitié. Dominique était remplie de bonté, de générosité, de bienveillance et d'amour envers ceux et celles qui avaient la chance de la côtoyer. Je garderai toujours le souvenir d'une femme de coeur exceptionnelle...Je suis persuadée qu'elle vous enverra la force et le courage dont vous avez besoin pour traverser cette période difficile de vie. Elle sera là pour vous avec sa présence remplie d'amour et continuera de vous guider d'où elle est maintenant. Mes prières vous accompagnent également et je demande à Dieu de vous envoyer toute la force dont vous avez besoin maintenant. Elaine Bernier xox
Cher Gilles,
Un court message pour t'offrir nos vives sympathies, ainsi qu'à toute ta famille. Nous sommes vraiment désolés de ne pas pouvoir nous joindre à vous en personne à l'occasion de la soirée "hommage et prières" en l'honneur de Dominique, ainsi qu'aux funérailles qui auront lieu samedi. Cependant, sois assuré que nous serons de tout coeur unis à vous par la prière...Nous partons vendredi matin très tôt en direction de Manawan, chez les Atikamekw, en vue du premier Congrès Charismatique qui y aura lieu à compter de ce vendredi jusqu'à dimanche...Nous y sommes engagés dans l'organisation, et par conséquent il nous est vraiment impossible de nous désister! À notre demande, le Père Jean-François Laliberté célébrera une messe demain, soit vendredi le 20 juillet, à l'intention de Dominique, ainsi que de votre famille. Il y aura également une messe de célébrée pour elle lors de la reprise des soirées de louange "EFFATA". DOMINIQUE!... Une jeune femme merveilleuse au coeur d'enfant, à l'écoute, empreinte de douceur, de délicatesse et d'amour! Jésus aimait particulièrement les "tout-petits". Il disait: "Laissez-les venir à Moi." Dominique, la "toute-petite", est partie à la rencontre de Celui que son coeur aimait! Paix et joie du Seigneur pour ton âme, Dominique. Ce n'est qu'un "À-Dieu!"
Toutes mes sympathies à toute la famille en ce triste moment.
Ma fidèle amie de jeunesse s'est éteinte. Je reste avec le souvenir de son sourire et de sa chaleur et de son grand cœur débordant d’amour. Et je suis convaincue que, de là-haut, elle continue de veiller attentivement sur tous ceux qu'elle a aimés.
Nous voulons honorer l'accueil, l'hospitalité,la bonté, le sourire de Dominique dès les années 2005 jusqu'à ce jour. Nous vous offrons nos sincères condoléances.
Recevez nos plus sincères condoléances.
Nous sommes de tout coeur avec vous.
Famille Kiczka
(Barbara, Tomasz, Magdalena, Weronika, Jan, Piotr et Zofia)
'L'amour ne disparaît jamais
La mort n'est rien
Le fil n'est pas coupé
Pourquoi serais-je hors de votre pensée
Parce que je suis hors de votre vue
Je ne suis pas loin,
Juste de l'autre côté du chemin''
La perte d'une épouse, d'une maman, c'est toujours un moment très difficile à passer. Je partage votre peine. Je prie pour que Dieu vous donne la force nécessaire pour passer à travers ce moment très difficile dans votre vie. Je vous présente mes plus sincères condoléances et je vous souhaite beaucoup de paix et de courage. Union de prière. BISCUM!
Chère Dominique, petite sœur chérie, tu vas nous manquer. Bien que nous nous réjouissons avec toi d’être auprès de ton Dieu Créateur et de la Vierge Marie, ta maman du ciel, auprès aussi de notre papa Gaston et de notre maman Lucile, il n’en demeure pas moins que pour un temps encore indéterminé, le temps nécessaire pour faire la traversée de notre deuil, il nous sera douloureux de penser qu’on ne verra plus ton magnifique sourire, qu’on n’entendra plus ton rire en cascade, et que l’éclat de tes beaux cheveux cuivrés ne brillera plus pour nous. Si ta beauté physique était remarquable c’est qu’indéniablement, elle était le reflet de ta grande beauté intérieure.
Tu étais encore toute jeune quand le germe de ta spiritualité a pointé. Par la suite, c’est à chaque jour que tu l’alimentais pour qu’elle puisse s’enraciner toujours plus profondément en toi. Tu nourrissais ton âme par la prière qui était devenue comme ta respiration, un réflexe involontaire, essentiel à ta vie. Devenue orpheline de père à un âge très tendre, jeune enfant, tu pouvais paraître plutôt fragile.
Mais déjà, adolescente, tu prenais des forces et tu nous étonnais par des prises de position bien personnelles et tes solides valeurs humaines, valeurs qui ne se sont pas démenties avec le temps. Tu croyais par dessus tout en la justice, en l’égalité, en l’unité et tu faisais tout pour que règne ou se rétablisse la paix. Tes cinq enfants Marc-Antoine, Pascal, Samuel, Myriam et François en sont d’ailleurs chacun un vibrant témoignage. Peu de familles nombreuses (une famille de cinq enfants de nos jours, mérite sûrement l’appellation de famille nombreuse) vivent autant l’harmonie. Sans trop idéaliser la chose, il y avait, en effet, très peu de chicanes, dans votre belle cabane. Et ça, nous sommes plusieurs à avoir profité, à plus d’une reprise, de votre hospitalité, d’y avoir passé des séjours très agréables, qui pouvons en témoigner.
Ce qui va nous manquer aussi, Dominique d’amour, c’est ton accueil des plus enthousiaste et manifeste : les deux bras en l’air, agités de la joie de nous recevoir, tu venais à notre rencontre, laissant là pour l’instant la tâche en cours, quitte à la reprendre plus tard, car tu étais rarement désœuvrée et très sollicitée par toutes les exigences inhérentes à une maisonnée de sept personnes. Dans ton livre à toi, les personnes ont toujours eu priorité sur les tâches.
Et comme tu savais accueillir tout ton monde ! : ton mari qui revenait du travail, tes enfants de l’école, leurs amoureux, le soir et la fin de semaine, la parenté lors des congés et des fêtes, la famille de l'Arche, les locataires du haut, les membres de la chorale de Gilles, les paroissiens de votre unité pastorale, les voisins, les Scouts, les Focolari, les amis de StLaurent, les amis en général, les amis des amis ...
Maison ouverte, visite libre ! Comme rien n’était à vendre mais que tout était à donner généreusement dans votre foyer, on était sûr d’y trouver l’amour, un amour très proche d’être universel et inconditionnel : la preuve de tes belles valeurs à l’œuvre, de tes valeurs incarnées.
Au cours de ta vie tu as fait des choix audacieux, quelque peu à contre-courant même de notre époque. Ainsi, malgré tes qualifications de bachelière en psycho éducation, tu as fait le choix de renoncer à une carrière professionnelle pour travailler à la maison à éduquer tes propres enfants. Personnellement, je ne me ralliais pas toujours derrière tes choix mais tu es restée ferme dans ta décision parce qu’elle était mûrement réfléchie et totalement en accord avec tes valeurs. Et tu as superbement vécu avec les conséquences de tes choix ; et tu trouvais que tu avais une belle vie au point que, deux semaines à peine avant ton décès, dans ta chambre d’hôpital, tu te disais heureuse !
Il fallait voir et sentir quelle paix et quelle sérénité émanaient de toi pendant les derniers mois de ta vie ! Chère petite sœur, ceux qui ont eu la chance de te visiter l’ont tous expérimenté et se considèrent privilégiés de ce fait. Gilles et toi avez, à toutes fins pratiques, fait de ta maladie une célébration à la gloire de Dieu et par conséquent, toutes deux ont pu évoluer de pair. Pour nous tous, votre très grande acceptation de la volonté divine a été et demeurera rien de moins qu’édifiante.
Si les circonstances s’y prêtent alors, j’aurai ton bel exemple à suivre quand viendra mon tour de quitter ce monde. Nos rôles s’en trouveront ainsi inversés, de sorte que c’est moi, la grande sœur, qui suivrai les pas de sa petite sœur. Peut-être pourrai-je alors partir comme tu l’as fait, tout doucement, tout doucement, en paix et sereine, vers ma vie céleste ?
Merci Dominique pour tout ce que tu m’as donné de ton vivant. Si ce gros bagage qui est ton héritage s’avère étrangement léger, c’est que l’amour est d’une nature qui ne se compte ni se mesure.Comme tu as bien su toi, Dominique, répondre à l’Amour qui nous demande de nous aimer les uns les autres ! ! !
Merci Dominique, je t’aime, au revoir !
Ta soeur Marie
Texte de Saint-Augustin
Ne pleure pas si tu m'aimes
La mort n'est rien.
Je suis seulement passé de l'autre côté.
Je suis moi. Tu es moi.
Ce que nous étions l'un pour l'autre, nous le sommes toujours.
Donne-moi le nom que tu m'as toujours donné.
Parle-moi comme tu l'as toujours fait.
Ne prends pas un ton différent.
Ne prends pas un air solennel ou triste.
Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble...
Prie, souris, pense à moi, prie avec moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été,
sans emphase d'aucune sorte, sans une trace d'ombre.
La vie signifie toujours ce qu'elle a toujours signifié.
Elle est ce qu'elle a toujours été: le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée?
Simplement parce que je suis hors de ta vue?
Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin...
Tu vois, tout est bien...
Tu retrouveras mon coeur, tu en retrouveras les tendresses épurées.
Essuie tes larmes et ne pleure pas si tu m'aimes.
Je t'aime Dominique
Au revoir! xoxoxo
Ta soeur Élise
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Mes pensées et prières vous accompagnent en ces jours de peine. Mes plus sincères condoléances.
Mes plus sincères condoléances suite au décès de Dominique.Mes pensées et mes prières vous accompagnent. Tous ces beaux moments vécus ensemble ne meurent pas et resteront longtemps en vos coeurs.
Unité
Je viens d'apprendre le décès de votre petite sœur et m'empresse de vous offrir mes sincères condoléances .
Roger Garneau de Québec.
Comme j'ai été attristée d'apprendre aujourd'hui la maladie et le décès prématurée de votre belle Dominique! Aussi, je pense à vous qui vivez ces moments éprouvants et je vous transmets toutes mes sympathies. J'ai connu Dominique (à partir de 1994) comme une femme de coeur et je suis certaine qu'elle a légué à chacun de vous sa grandeur et son profond respect de la vie.
De Nicole Blanchard et Tamara Martel
C'est avec une grande tristesse que je viens d'apprendre la triste nouvelle du décès de Dominique, une cousine de ma mère, mais surtout une personne au grand cœur. J'ai eu le privilège et le plaisir de la côtoyer, enfant et adolescent, et conserverai toujours en mémoire sa simplicité, sa vivacité et sa grande humanité.
Je vous transmets mes plus sincères condoléances.
Georges Desmeules