Turner, Gisèle - Avis de décès | Coopérative funéraire du Grand Montréal

Turner, Gisèle

TURNER, Gisèle

1939 - 2025

C’est avec tristesse que nous vous annonçons le décès de madame Gisèle Turner, survenu le 16 avril 2025, à l’âge de 85 ans. Elle était l’épouse de feu Denis Harvey.

 Elle laisse dans le deuil ses enfants, Pierre, Francine (Jacques) et Patrick, ses sœurs,Pauline, Marie-Claire et Marie-Paul, sa belle-sœur Jeannine, ses neveux et nièces, ainsi que plusieurs parents et amis.

 

La famille recevra les condoléances le samedi 7 juin 2025, de 14 h à 17 h à la:

Coopérative Funéraire du Grand Montréal

Résidence funéraire Saint-Hubert

5000 boul. Cousineau à Saint-Hubert

 

Une cérémonie sera célébrée à 17h

en la chapelle de la résidence funéraire

 

Vos témoignages de sympathie peuvent se traduire par un don à la: Fondation québécoise du cancer:https://jedonneenligne.org/fondationquebecoiseducancer/

 

Coopérative Funéraire du Grand Montréal

Résidence funéraire Saint-Hubert

5000 boul. Cousineau à Saint-Hubert

 


3 messages reçus

Gisèle Turner Harvey

À toute la famille,mes plus sincères condoléances. Que les nombreux témoignages de compassion que vous avez reçu vous apportent un peu de réconfort. Vous avez toute ma sympathie. Gisèle était une femme exceptionnelle et inoubliable. Bon courage à tous.

Francine Ste-marie Vachon , le 27 avril 2025

Famille de Gisèle Turner

Je veux offrir mes plus sincères sympathies à toute la famille de Gisèle ainsi qu'à ses amies.
Durant les trente-cinq années où elle a été ma voisine, j'ai apprécié ses grandes qualités.
Souriante, discrète, toujours prête à rendre service, à prendre un moment pour jaser, Gisèle va beaucoup me manquer.

Claire Sasseville, le 4 juin 2025

Famille de Gisèle Turner

Le chagrin n'est pas seulement une émotion, c'est une déchirure, un espace où quelque chose a vécu et a disparu. Il vous transperce, laissant une douleur creuse là où l'amour résidait autrefois.

Au début, c'est insupportable, comme une blessure qui ne se refermera jamais. Mais avec le temps, les bords à vif commencent à se réparer. La douleur s'atténue, mais l'empreinte reste un rappel silencieux de ce qui a été. La vérité, c'est qu'on ne passe jamais vraiment à autre chose. On évolue avec. L'amour que vous aviez ne disparaît pas, il se transforme. Il persiste dans les échos des rires, dans la chaleur des vieux souvenirs, dans les moments silencieux où l'on cherche encore ce qui n'est plus là. Et ce n'est pas grave.

Le chagrin n'est pas un fardeau à cacher. Ce n'est pas une faiblesse dont il faut avoir honte. C'est la preuve la plus profonde que l'amour a existé, que quelque chose de beau a un jour touché votre vie. Alors, laissez-vous aller à ce sentiment. Laissez-vous aller au deuil. Laissez-vous rappeler.

Il n'y a pas de calendrier, pas de « bonne » façon de faire son deuil. Certains jours seront lourds, d'autres plus légers. Certains moments vous apporteront des vagues de tristesse inattendues, tandis que d'autres vous rempliront de gratitude pour l'amour que vous avez eu la chance de connaître.

Honorez votre chagrin, car il témoigne de la profondeur de votre cœur. Avec le temps, à travers la douleur, vous trouverez la guérison - non pas parce que vous avez oublié, mais parce que vous avez appris à porter ensemble l'amour et la perte.

Sylvie Richard Lefebvre, le 7 juin 2025

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