Le 7 novembre à l’âge de 87 ans est décédé Jean-Marc Poliquin, époux de Alda Prévost Poliquin.
Un grand homme nous a quittés subitement. Une personne toujours à l'écoute des autres, ne comptant pas ses heures pour aider. Sa générosité était systématiquement au rendez-vous.
Outre son épouse Alda, il laisse dans le deuil ses enfants : Benoit, Pierre-Luc (Josée), Jean-François (Nathalie) ainsi que ses petits-enfants : Mathieu, Simon, Jean-Frédéric, Charles-Etienne, Noémie, Vicky et Camille.
Il laisse également dans le deuil son frère Réal (Lise), sa belle-sœur Georgette, ses beaux-frères et belles-sœurs, ses neveux et nièces, de même qu’autres parents et amis.
Tous témoignages de sympathie peuvent s’exprimer par un don à la Fondation CHU Sainte-Justine.
Bonjour, je suis caroline la mère de Simon Poliquin.
J’aimerais vous transmettre mes plus sincères condoléances à vous et votre famille. J’ai rencontré cette homme plusieurs fois et toujours toujours j’ai été impressionné par sa gentillesse, son humour, sa générosité, sa délicatesse, sa patience et je pourrais continuer comme ça longtemps. Il a été et restera toujours un modèle d’une grande bonté pour Simon et moi.
Bon courage
C’est avec regret que nous apprenons le décès de Jean-Marc Poliquin. C’ était un homme droit, franc,
généreux avec un sens discret de l’humour.
Nous offrons nos condoléances à son épouse et à sa famille.
Lise et Réjean Doucet.
Nous garderons de Jean-Marc le souvenir d’un ami loyal, chaleureux, franc ,généreux et d’un homme qui a non seulement réussi dans la vie mais qui a réussi sa vie. Tous les bons moments que nous avons passés avec toi et Jean-Marc resteront gravés dans notre mémoire comme de purs instants d’amitié.
À toi, tes enfants et petits-enfants, nous offrons nos plus sincères condoléances.
Maurice et Rita Lamothe
C'est avec une grande tristesse que j'ai appris le décès de monsieur Poliquin qui par l'exemplarité de sa carrière, nous laisse le souvenir d'un homme intègre, droit avec un grand coeur.
Chaque personne avec qui il a travaillé, aura la chance de garder des souvenirs inoubliables.
Mes pensées sont avec toute la famille à qui je présente mes plus sincères condoléances.
Jean-Marc a été un collègue et un patron extraordinaire, plein d'empathie. Les années de travail où nous nous sommes cotoyés restent gravées dans ma mémoire. C'était un homme profondément humain et généreux.
Mes sympathies à toute la famille, mes pensées sont avec vous.
C'est avec tristesse que j'ai appris la maladie et décès rapide de Jean-Marc. Plus présent durant mon enfance, il a été un oncle toujours souriant et qui a nous a beaucoup fait rire. Il m'avait obtenu mon premier emploi d'été à l'Hôtel-Dieu de Montréal. Après le décès de sa soeur Thérèse, Jean-Marc (avec Alda) invitaient généreusement et régulièrement ma soeur Marthe (sa nièce) rendue aveugle par la maladie, ce qui brisait son cruel ennuie.
Si le ciel existe, tu y es certainement Jean-Marc. Chers cousins, vous pouvez être fiers de votre père. Sincères condoléances à vous et à toi Alda
Guy Vaillancourt
Ce n'est qu'aujourd'hui que j'ai appris le décès de M. Poliquin par un ancien de Boscoville.
Je l'ai bien connu durant les années où il a travaillé à Boscoville comme directeur des finances, étant moi-même un directeur à la direction. Il avait à coeur le bien-être des jeunes et facilitait toutes les dépenses dans ce sens. Je garde particulièrement comme souvenir l'achat et la plantation de nombreux arbres tout le long de l'allée menant du boulevard Gouin à la côte débouchant sur la Place Roger.
Mes plus sincères condoléances à tous les membres de sa famille.
Jean Ducharme
Je viens d'apprendre le décès de Jean-Marc. Je suis habité d'une grande tristesse.
Je vous transmets mes plus sincères condoléances à vous et à tous les membres de votre famille. Lors d'un lointain hier durant quelques années nous avons oeuvré ensemble au sein au du comité de direction de Boscoville. Je garde de ce vécu le souvenir d'une collaboration loyale et franche. J'ai particulièrement apprécié sa disponibilité et son professionnalisme à se questionner et à s'adapter aux différents cheminements cliniques élaborés par le personnel du milieu.
Jean-Paul Déom
Je cherche sans succès les mots pour vous réconforter.
J'aimerais croire qu'oncle Jean-Marc dirait.....
Je ne suis pas loin.... je continue simplement mon parcours entamé il y a 87 ans... je ne me sens pas seul car je voyage avec de précieux moments et l'amour de mon épouse et mes enfants.
Nous pensons à vous.
Georgette, Nicole et Jean
Nous avons appris la triste nouvelle au Jour de L'An par des amis communs. Robert, Réjean et Jean-Marc ont travaillés ensemble auprès de la Jeunesse dans l'Ère après le rapport Batshaw et on a révolutionné toutes les méthodes dans ce domaine. Nous avons à l'occasion partagés de bons moments avec Alda, Jean-Marc, Réjean et Johanne ainsi qu'avec vos enfants.
Recevez nos sympathies.
