Céline, Jean et Gilles
Bruce et moi désirons vous transmettre nos voeux de condoléances. Nos pensées sont avec vous. Louise
Paisiblement, au Centre hospitalier Champlain des Pommetiers de Beloeil, le 20 septembre 2014, à l’âge de 91 ans, est décédée Mme Madeleine Grisé, épouse de feu Gaston R. Beauregard. Elle a vécue 70 ans à Montréal. Elle laisse dans le deuil ses enfants Céline (Guy), Jean (Louise) et Gilles. Elle était la seule grand-maman, vivante, pour chacun de ses 4 petits-enfants : Mariève (Patrice), Charles (Alexia), Elise (Keegan), Julien, son arrière-petit-fils Alexandre, ainsi que de nombreux neveux et nièces ainsi que parents et amis. Les proches se recueilleront en toute intimité. Donc, il n’y aura pas de cérémonie officielle. Vos témoignages de sympathie peuvent se traduire par un don à la Société Alzheimer Rive-Sud en mémoire de Madeleine Grisé-Beauregard . La direction des funérailles a été confiée à la :
COOPÉRATIVE FUNÉRAIRE DU GRAND MONTRÉAL.
Résidence funéraire Saint-Hubert
5000 boul. Cousineau, St-Hubert (Québec) J3Y 7G5
Tél. : (450) 766-0503
La famille désire remercier tout le personnel du 2ieme étage du Centre Hospitalier des Pommetiers pour leurs soins attentifs et professionnel et tout particulièrement Lucie, Kim et Maryse.
Malgré la maladie qui a peu à peu envahi son esprit, l’Alzheimer n’a jamais atteint son cœur.
Bruce et moi désirons vous transmettre nos voeux de condoléances. Nos pensées sont avec vous. Louise
À toute votre famille et particulièrement à toi, Céline, ma précieuse amie de toujours. Je pense très fort à vous et je vous offre mes plus chaleureuses sympathies. Souvenez-vous toujours que votre maman vous a beaucoup aimé et qu'elle a répandu des pétales de roses pour vous tracer un chemin rempli de respect et d'amour. Je l'aimais beaucoup votre maman. Bisous-bisous
Merci madame Beauregard. Merci d'avoir gardé et aimé mes petits qui n'avaient qu'une seule grand-mère. Merci de les avoir amusés et nourris, notamment de vos fabuleux desserts. Ils ont d'ailleurs hérité de vous leur dent sucrée. Vous avez eu une longue vie. J'imagine qu'il était temps pour vous de partir. Vous leur laissez de jolis souvenirs d'enfance qui les feront sourire quand la peine s'estompera. Merci.
Mes condoléances à chacun de vous.Je suis de tout coeur avec vous .Je partage votre peine.Pauline
À ma grand-maman d'amour... Tu nous as quitté aujourd'hui, le jour de mon mariage... tu n'as pas perdu de temps... tu es venue me retrouver et passer cette merveilleuse journée à mes côtés. J'ai pleuré... mais j'ai surtout été forte, parce que c'est ce que tu aurais voulu, tu n'aurais pas voulu voir des larmes de tristesse... juste des larmes de joie.... Aujourd'hui, j'ai fait des crèpes... j'ai jeté la première, tel que tu me l'as appris...ensuite, j'ai servi tout le monde...et moi, j'ai brisé une promesse... j'ai mangé un crèpe à la cassonade et au sirop d'érable ailleurs que chez toi et avec toi... mais tu me pardonnes, je le sais... J'ai fait ça en pensant à toi... Dans les prochains jours, je ferais des tartes au raisins et un mille-feuille... et je te promet, que je vais continuer de partager ta recette de crèpes avec tout ceux qui me le demanderont ! Je t'aime grand-maman... je m'ennuie tellement xxx
Merci de m'avoir donné la vie et d'avoir toujours été là pour moi. Merci de m'avoir inculqué le respect de la vie, des êtres et des choses. Merci de m'avoir enseigné à ne jamais juger . Merci pour les adages,maximes et proverbes dont tu as parsemé mon éducation et qui imbibent toujours mon quotidien. Merci d'avoir toujours cru en moi et de m'avoir aidé à façonner confiance et estime de soi. Merci d'avoir éveillé en moi cette féminité, cette fierté d'être femme. Tu as toujours été convaincue qu'une femme a une place pleine et entière dans une société équilibrée. Tu m'as encouragé à la prendre cette place et à développer le plus d'autonomie possible... Tu étais tellement fière de tes petites filles qui l'ont aussi prise cette place... Merci pour le précieux héritage génétique,affectif et émotionnel que tu me laisses; il restera toujours gravé en moi. Merci de m'avoir montré que le mot AMOUR s'épelle T-E-M-P-S ... Merci d'être restée ma petite maman quand moi je n'étais plus ta petite fille. Merci de m'avoir tenu la main jusqu'à ce que je prenne la tienne sur le chemin de la vie. Depuis quelques temps, tu attendais " dignement" que le firmament s'entrouve. Il est maintenant venu le temps de te reposer... Merci encore d'avoir été ma maman... JE T'AIME MAMAN !!!
Un petit ange bien special vient de rejoindre le ciel. Merci d'avoir été ma belle grand maman Madelon. Le temps n'effacera pas ces souvenirs qui resteront gravés a jamais dans mon coeur. Repose toi bien. Je t'aime ❤️❤️❤️
Je peux parler beaucoup mais écrire m’est beaucoup plus difficile…. Bon voyage, vas rejoindre les tiens tu le mérites bien. Tu auras été tout au long de ta vie l’image même du bonheur et de la sérénité. Toujours souriante rarement de mauvaise humeur, même malade, tu auras été une mère aimante à une époque ou les démonstrations d’affection n’était pas à la mode. Vieille sur nous comme tu l’as si bien fait durant ta vie. Jean
Bonjour Céline, c'est avec regret que j'apprends le décès de ta mère. Je suis en pensée avec toi, et je te souhaite que tous les moments heureux que tu as vécus avec ta maman surgissent à ton cœur pour le réchauffer en cette période de deuil.
Nous te réitérons toutes nos sympathies, Jean, ainsi qu'à Céline et ton frère. Et à Élise, Charles et Louise. Josée et Michel
À Céline, Guy et aux autres, La perte d'un être cher est toujours difficile. Vous dire que je sois de tout cœur avec vous puisse apporter un peu de consolation, je l'espère. Je n'ai que de bons souvenirs de ma tante Madeleine, nous nous rejoignions dans le rire. Par alliance ou pas, elle était une vraie tante pour moi. Même avant de la connaître, Donald m'avait dit qu'elle était "LA SPÉCIALISTE" en desserts et à plusieurs occasions, j'ai pu le constater. Allez, reposez-vous chère tante, votre mission est accomplie. Céline avec tout mon amour.
Pour cette grande tante mes sympathies à toute la famille (Je suis la fille de Lucienne Grisé)
Mes sympathies à Céline, Jean et Gilles, il est toujours difficile de perdre un de nos parent. Je garde de bons souvenirs de ma tente Madeleine, nous somme de tous cœur avec vous Bernard et Roland.
D'après les commentaires, madame Beauregard, tout comme toi Céline, a toujours été une personne de grande valeur et de grande sensibilité. Toi et Guy étant des amis très proches, sachez que l'épreuve que vous traversez actuellement, nous la partageons avec beaucoup de sincérité. "Gros câlin!" me chuchotte Francine! Francine et PP
Nous vous souhaitons nos plus sincères condoléances, nous sommes en pensée avec tout au long de cette épreuve qui vous affecte tous
Nous avons une pensée pour ma tante Madeleine et vous tous. Elle est sûrement très heureuse en haut. Sa belle-soeur Marguerite Gariepy Grisé s'unit à nous pour nos sincères condoléances. Raymond et Jocelyne Grisé
A LA FAMILLE BEAUREGARD Nos sympathies pour le décès de tante Madeleine. Nous avons le souvenir d'elle toujours souriante. Dieu l'a reçue avec Amour. Nous pensons a vous tous. Estelle Grisé,Gaétan Daigle Jocelyne et Fernand Grisé
Je suis désolé que vous ayez à traverser cette épreuve et je suis de tout coeur avec vous. Même si l'Alzheimer ravage les capacités cognitives au point de ravir toute trace de ce qu'une personne a été, son départ reste une dure épreuve. Bon courage !
A toute la famille, mes plus sincères sympaties.
A ma Mère, Ah ! Qu’il faisait bon, dehors dans cette campagne ! C'était l'été, une cane, assise là, sur son nid couvait consciencieusement ses canetons ; pourtant elle commençait à en avoir assez, car cela durait depuis quelque temps déjà. Soudain les oeufs craquèrent, les oisillons brisaient leur coquille en sortant la tête l’un après l’autre. Cependant, un oeuf ne voulait pas se percer. C’était le plus gros d’entre tous. La cane soupira et se résigna à attendre ; elle se recoucha pour tenir cet oeuf bien au chaud sous son ventre. Enfin le gros oeuf creva et un étrange petit canard apparut. Il était grand, tout dégingandé et terriblement laid. La cane le regarda fixement et elle dit : - Voilà un caneton vraiment différent, aucun des autres ne lui ressemble, il est gris et si gros ! Mais qu’importe ! Elle prit ses petits sous son aile, et tous ensemble partirent faire une promenade sur le lac. Le lendemain, il fit un temps délicieux alors, la mère cane vint présenter la nouvelle famille à tous les animaux de la basse-cour ; mais lorsque ceux-ci s’aperçurent de la différence du dernier venu, les réactions ne se firent pas attendre. - Celui-là, nous n'en voulons pas ! Et aussitôt une cane lui mordit le cou. - Laisse-le tranquille, dit la mère, il ne fait de mal à personne. - Non peut être, dit la cane qui avait mordu, mais il est trop grand et trop laid. - Il n'est pas beau, mais il a bon caractère, et il nage magnifiquement bien. Il est resté trop longtemps dans son oeuf, voilà pourquoi il est si gros. Hélas le pauvre vilain caneton fut mordu, bousculé, nargué toute la journée, et ce fut de pire en pire ensuite. Le pauvre petit fut pourchassé par tout le monde, même ses frères et soeurs le rejetaient. Un jour, sa mère lui dit : - Je voudrais que tu sois bien loin mon chéri ! Alors le vilain petit canard s'envola par-dessus la haie et parvint cahin-caha au grand marais habité par les canards sauvages. Il se cacha dans un coin et il y passa toute la nuit, très las et très triste. Le matin, les canards sauvages l’aperçurent. - Quelle sorte d'oiseau es-tu ? Le caneton se tourna de tous les côtés, et répondit en bégayant : - Je, je, je suis un canard !! - Aaah ! Tu es vraiment laid, dirent les canards sauvages. Mais ça nous est égal, pourvu que tu ne te maries pas dans notre famille. Soudain, au-dessus d'eux, on entendit : Pif, paf ! Et deux canards sauvages tombèrent raides morts. Pif, paf résonna de nouveau. C'était une grande chasse. Le vilain petit canard effrayé tourna la tête pour la cacher sous son aile, quand soudain, un grand chien terrible surgit devant lui. Le chien approcha sa gueule, montra ses crocs pointus et... tourna les talons sans se préoccuper du petit caneton. - Oh ! Dieu merci, soupira le vilain petit canard, je suis si laid que même le chien ne veut pas me mordre. L'automne arriva, les feuilles devinrent jaunes et le vent s'en empara pour les faire danser. Le vilain petit canard passait tout son temps à chercher une famille voulant bien l’accueillir, mais les animaux le dédaignaient toujours à cause de sa laideur. Puis, l'hiver arriva qui fut extrêmement froid ; le caneton devait tout le temps nager pour empêcher l’eau de geler complètement autour de lui ; mais à la fin, complètement épuisé, il ne bougea plus, et fut prisonnier de la glace. Le matin, de bonne heure, un paysan le vit, brisa la glace, et l'emporta chez lui pour le ranimer. Lorsqu’il se réveilla, les enfants voulurent jouer avec lui, mais apeuré, il se sauva et se cacha parmi des buissons couverts de neige. Il y resta tout l’hiver, attendant patiemment que l’air se réchauffe pour pouvoir repartir. Petit à petit, l’air fut plus doux, les oiseaux se mirent à chanter et le soleil devint de plus en plus présent. Le printemps arrivait ; cependant le vilain petit canard était toujours tout seul. Un jour, droit devant lui, s'avancèrent trois beaux cygnes qui ébrouaient leurs ailes et nageaient légèrement dans l’onde pure d’un étang. En voyant ces magnifiques bêtes, il fut pris d'une étrange tristesse. - Je vais voler vers vous, oiseaux royaux, et vous me massacrerez, parce que j'ose m'approcher. Moi ! Le vilain petit canard. En un coup d’aile, il s’éleva au-dessus de l’étang et se dirigea vers les superbes voiliers. Les trois oiseaux l'aperçurent, se retournèrent et accoururent vers lui à grands coups d'ailes en rasant les flots. - Tuez-moi si vous voulez ! dit le vilain petit canard. Il pencha la tête sur la surface de l'eau, attendant le choc et sa mort certaine... mais, il n’en crut pas ses yeux, quelle surprise en voyant son reflet ! Il vit qu’il était devenu lui-même un cygne. Il en perdit le contrôle de son vol et tomba violemment dans les profondeurs de l’étang. Quand il rouvrit les yeux, les grands cygnes nageaient autour de lui et le caressaient tendrement avec leurs becs. Alors ses plumes se gonflèrent, son cou se dressa et heureux comme jamais, il comprit enfin tout son bonheur d’avoir retrouvé sa vraie famille.
Ma très chère grand-mère. Je ne t'oublierais jamais. Ton rire, tes sucres à la crème, tes sourires, tes tartes aux raisins, tes carrés au caramel, ta maison chaleureuse, ta générosité, ton bridge, ta rhubarbe..... Grâce à toi, j'ai découvert les biscuits feuilles d'érable. Ils sont encore à ce jour mes préférés. Et l'odeur me rappellera toujours ma grand-mère. Merci pour tout Je t'aime
Ta mère, je l'aimais beaucoup! C'était quelqu'un de très spécial pour moi; elle était un modèle; elle avait de la classe, de la distinction ; elle était toujours souriante et de bonne humeur. Et que dire de sa délicieuse tarte au citron qu'elle nous préparait dès que l'on annonçait notre visite... Mes plus sincères sympathies à la famille et plus particulièrement à toi, Jean et Gilles.
Je n'oublierai jamais votre bel accueil; nous étions toujours bienvenus chez vous.Je me rappelle aussi que vous étiez vraiment à l' "écoute" des gens et cela, selon votre signature: confiante,positive, discrète et sans jugement. Reposez-vous bien, ma tante.
Je sais que j'ai pris mon temps pour écrire ce message, c'est probablement parce que j'essayais de me remettre en paix avec ta perte. Perte qui m'affecte d'autant plus que j'ai l'impression d'avoir perdu mes dernières occasions de passer quelque moment physiquement au-près de toi alors que maintenant je n'aurai plus que la possibilité de me souvenir de toi et des moments que trop rare mais mémorable que j'ai passé avec toi. Que ce soit en allant joué chez toi dans mon enfance ou en découvrant la rhubarbe et le sucre à la créme dont je raffoles encore toujours autant ou encore les soirées ou tu m'a gardé quand j'étais plus jeune, tout cela fait maintenant parti intégrante de ma personne et continuera à définir mon avenir. Malgré mes croyances j'espère sincèrement que tu as droits à un repos bien mérité. Merci pour tout, tu nous manques déjà à tous!
Paix profonde à ta maman. Je la remercie de m'avoir donné l'opportunité d'avoir une collègue de travail, une voisine, une compagne d'atelier, une artiste et un modèle comme toi,Céline. Mes meilleures pensées t'accompagnent et que ta mission se continue merveilleusement, ma belle Céline!
Toutes mes sympathies Céline. Je sais que tu étais omniprésente auprès de ta mère.
Reposez-vous, tante Madeleine...Je voulais vous remercier pour les 6 mois passés chez-vous en 1952. Ce n'étaient pas toutes les TANTES qui auraient eu la générosité d'héberger et de préparer les repas pour un neveu de 16 ans, tous les jours, jusqu'à ce qu'il se trouve un emploi...Si possible, je vais essayer de tout mon coeur de vous voir là-haut, où vous êtes. Je n'ai jamais oublié aussi lorsque je suis allé (début mai 1956) vous montrer ma chevrolet toute neuve; lors d'un petit tour dans Rosemont, vous et mon parrain Gaston, aviez fait le plein d'essence chez votre ami le garagiste (Lessnick). Trois fois Merci!!!
Moi aussi, je remercie tante Madeleine de m'avoir reçue chez elle à quelques reprises, pour une semaine...Elle m'amenait magasiner chez Eaton, en autobus. Ce sont de beaux souvenirs.
Merci Céline. Tu nous a donné l'occasion de rencontrer et de connaître une GRANDE DAME . Tu l'as aimé et tu en as pris soin avec tout l'amour de ton coeur jusqu'à ses derniers jours. Je suis convaincue qu'elle l'a ressentie et qu'elle repose en paix.