11 messages reçus
À Robert,Jean-Pierre, Marie-France
Que ce message vous apporte le témoignage d'une sympathie profonde et sincère.
Medard, le 5 juin 2015
À Robert et Lison et famille
Que Dieu vous donne la force et le courage pour surmonter ces heures difficiles.
Guy et Lise Coache, le 5 juin 2015
À toute la famille
je vous offre mais sympathie les plus sincère et bon courage.
Robert ( le poil ) fortin, le 5 juin 2015
À toute la famille
Sincères condoléances à toute la famille,nous sommes avec vous en pensées.
Jocelyne Rémillard et Maurice Gélineau, le 5 juin 2015
À Marie-France, Robert et Jean-Pierre
Mes plus sincères condoléances a toute la famille. Que les beaux souvenirs apaisent votre peine. Je suis de tout coeur avec vous !
Chantal Labrie, le 8 juin 2015
À marie france derome
Bien que les fleurs se fanent, meurent et disparaissent, leurs précieux parfums demeurent toujours. Tout comme ces fleurs éclatantes, ceux que nous aimons ne meurent jamais ; ils demeurent avec nous à jamais, empreints dans nos souvenirs précieux.
marcel paradis, le 8 juin 2015
À Robert, Jean-Pierre et Marie France.
Nos beaux ami(e)s, nous sommes de tous cœur avec vous dans cette épreuves. Du fonds du cœur nos plus sincères sympathie. Ann & Joseph.
Ann Bouchard, le 10 juin 2015
À la famille
Bien que les fleurs se fanent, meurent et disparaissent, leurs précieux parfums demeurent toujours. Tout comme leur parfum, ceux que nous aimons ne meurent jamais ; ils demeurent avec nous pour toujours, empreints dans nos souvenirs précieux. Nos sympathies les plus sincères à la famille.
L'équipe de Sodifer Inc., le 11 juin 2015
À À Robert,Jean-Pierre, Marie-France
Les mots sont impuissants en pareils moments, nous voulons néanmoins vous dire que nous partageons votre peine. Nos sincères condoléances.
Cécile & Claude, le 12 juin 2015
À la famille et tous ceux qui ont connu Yvon
Hommage à M. Yvon Derome Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis la conjointe de Jean-Pierre. La semaine dernière, Jean-Pierre m’a demandé d’écrire un petit texte pour la cérémonie. J’ai accepté toute de suite parce que j’ai un profond respect pour M. Derome. Alors, nous allons maintenant nous souvenir ensemble d’Yvon. M. Derome vient d’une famille de huit enfants (4 garçons, 4 filles), bien installée sur une terre à St-Jacques Le Mineur. Né en 1938, il est issu de la génération silencieuse. Une génération qui est marquée par la guerre, par le manque. D’où l’importance d’économiser, de travailler dur, d’éviter de se plaindre et de montrer un sens prononcé du devoir. Yvon possédait toutes ces valeurs. Il était en plus un homme libre, indépendant et aussi un peu délinquant. Lorsqu’il était jeune homme, il a été l’un des premiers à posséder une moto, un Jawa, où il avait minutieusement retiré le silencieux. Je l’imagine sur sa moto sillonnée les terres de la région avec un air défiant celui ou celle qui voudrait l’arrêter. En 1961, il s’achète une maison et un lopin de terre à St-Cyprien-De-Napierville. En 1962, il se marie avec Francine Galipeau et tous deux déménagent sur leur nouvelle terre d’accueil. Ensemble, ils ont 4 enfants : Robert, Jean-Pierre, Fernand et Marie-France. Il se consacre à sa famille et il est un travailleur acharné. Pendant un certain temps, il occupe un poste à la shop à bois chez Marchand. Par la suite, il s’achète une pépine, il charrie la gravel et cultive du foin. Un peu plus tard, il décide de se concentrer sur la grande culture. Le travail ne lui faisait pas peur. Il savait tout faire lui-même. Il était débrouillard et surtout patenteux. Une qualité qu’il a su transmettre à ses enfants. Toutefois, le travail lui permettait aussi de se retrouver, de faire le point dans sa vie. Jour après jour, il se levait tôt, il déjeunait, il faisait la vaisselle, il mettait un plat au four pour le repas du dîner et il se dirigeait à l’extérieur pour réaliser ses occupations quotidiennes. Travailler aux champs, entretenir les machineries, couper ou fendre le bois. Le travail, c’était sa priorité, cependant il était présent pour ses enfants. Avec 3 garçons, une fille et les amis de chacun, je peux vous dire qu’il y en avait de l’action à la maison. Mais, Yvon aimait les jeunes, il était patient et tolérant. Au cours de sa vie, il y a eu bien sûr quelques moments difficiles. Il les traversait du mieux qu’il le pouvait en démontrant une force intérieure, une énergie, une détermination qui s’exprimait de façon sereine et paisible. Ces dernières années, Yvon a présenté plusieurs problèmes de santé physique accompagnée de souffrances multiples. Il ne s’accommodait pas du tout de ce nouvel état. M. Derome a toujours mené sa vie comme il l’entendait et il ne laissait personne lui donner des instructions ou dicter sa conduite. Yvon, c’était un homme libre, digne et fier malgré son air modeste. Même mort, il continue de participer à nos vies, à être présents dans nos pensées et dans nos décisions. Son amour laisse une empreinte indélébile dans nos mémoires. Nous trouvons une certaine consolation en sachant que nos vies ont été enrichies parce que nous avons croisé son chemin. Pour terminer, j’aimerais vous lire un poème de D. H Lawrence : Les animaux sauvages ne se plaignent jamais de leurs sort Un oiseau tomber gelé mort du haut d’une branche Sans jamais s’être apitoyé sur son sort une seule fois. Voilà un poème qui caractérise bien Yvon. Merci d’être là avec nous aujourd’hui, merci pour toutes vos marques d’attentions, elles sont grandement appréciées.
Manon Fortier, le 14 juin 2015
Robert, Jean-pierre et famille.
J'ai appris le décès de votre père le 23 septembre et je vous offre mes sincères condoléances. Je me souviens d'Yvon comme une personne sur laquelle je pouvais me fier que ce soit pour creuser un tranché , me livrer de la terre de remplissage ou m'aider à remplir ma remorque de bois de chauffage. Il était toujours courtois et prêt à aider, il m'a aussi dépanner quelques fois. Je lui ai parlé la dernière fois à la pharmacie "Proxim" de Napierville. J'ai toujours eu beaucoup de respect pour votre père et je crois que le "Chemin des Patriotes" a perdu un grand homme.
Paul Wiedman, le 25 septembre 2015
