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VOUS LES ENFANTS , PETITS ENFANTS ET EPOUSE DE DENIS
CECI EST L'HISTOIRE D'UN HOMME QUI S'EN EST ALLE ....
La mort n'est rien, je suis juste passé dans la pièce à côté.
Je suis moi, vous êtes vous.
Ce que nous étions les uns pour les autres, nous le sommes toujours.
Donnez moi le nom que vous m'avez toujours donné. Parlez de moi comme vous l'avez toujours fait.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Priez pour moi, souriez, pensez à moi,
Que mon nom soir prononcé comme il l'a toujours été, sans une trace d'ombre, sans emphase d'aucune sorte,
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours signifié.Elle est ce qu'elle a toujours été.
Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serai-je hors de votre pensée, simplement parce que je suis hors de votre vue ?
Je vous attends. Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin ...
ANNICK BRALEY, le 19 octobre 2016
roger girard
sinceres sympathies.
roger froment, le 21 octobre 2016
Marielle et les enfants
J'ai connu Denis jeune adolescent, voisin de quelques maisons, sur la rue de Gaspé à Montréal.
Nous avons maturé, avec un groupe de nos âges et ton chemin à croisé le nôtre. Puis, le temps s'est installé et nos chemins se sont éloignés mais les bons souvenirs sont toujours vivants.
Condoléances à vous tous.
Ginette et Robert Vincent (Bob)
Robert Vincent, le 22 octobre 2016
Chantal Girard
Chère Chantal,
Nos pensées t'accompagnent dans cette période difficile.
Nous t'offrons nos plus sincères sympathies, à toi et ta famille.
La famille Raymond et toute l'équipe des Glissades
Line Charette, le 24 octobre 2016
Marielle, son frère
Je viens de l'apprendre, j'étais une amie face, moi j'été très malade et quand j'ai envoyé bonne fête, j'avais un doute. Prenez soin de vous, c'est un grand homme que vous avez perdu, il est dans votre cœur.
Diane Devost, le 18 décembre 2017
Marielle, son frère
Je viens de l'apprendre, j'étais une amie face, moi j'été très malade et quand j'ai envoyé bonne fête, j'avais un doute. Prenez soin de vous, c'est un grand homme que vous avez perdu, il est dans votre cœur.
Diane Devost, le 18 décembre 2017
