Honoré Jean

Chère Suzanne, Je n'ai pu être présente aux funérailles :-( Par ce message, je désire te transmettre mes sincères sympathies à toi et ta famille.

Cette annonce me rappelle le charisme de ce grand homme choyé par le destin dès sa naissance lorsque ce prénom Honoré s'est imposé à ses fiers parents. Merci la vie.

Chère Suzanne, C’est avec tristesse que j’ai appris le décès de Monsieur Honoré Jean. Je t’offre à toi et à ta famille mes sincères condoléances.

Chère Suzanne, J’aurais aimé être présent pour te souhaiter mes sincères condoléances mais je suis présentement à l’extérieur de Montréal. J’ai bien aimé côtoyer Honoré, entre autre au comité de scolarisation de la CDC. J’en garde un très bon souvenir. Très sincèrement, René Rivest

Toutes mes condoléances chère Suzanne, ainsi qu'à ta famille et à tes proches. C'est une perte pour le Québec et le monde syndical. J'ai eu la chance de le côtoyer à quelques reprises et je l'ai perçu comme un homme de conviction et d'une grande culture. Mario Beaulieu Député du Bloc Québécois de La Pointe-de-l'Île

Honoré était un collègue,ami, frère de combats syndical et politique , de 1970 à 1990 (environ)au CEGEP DU VIEUX . À la lecture de son DÉPART dans le Devoir j'ai été ébranlé , un gros morceau de ma vie a fait surface ( OUF)dont nos échange sur la vie avec nos proches ( famille ). Ces enfants principalement. Monique, Julie, Francois et Isabelle . Je suis de tout coeur avec vous . Honoré se disait MÉTIS ( INNU) ET PARLAIS DE CETTE IDENTITÉ AVEC GRANDE ÉMOTION. Un chagrin plein d'humanité se percevais dans son regard . Moi qui venait de naissance d'un quartier pauvre de Montréal je parlais de LIBERTÉ - ÉGALITÉ - FRATERNITÉ - ET VÉRITÉ . Nos implications syndicales étaient imprégnées de ces principes . Merci de bien vouloir ce message, Francine Dufort professeure au CEGEP DU VIEUX 1970 - 1997

Afin de vous aider à oublier ces heures tristes, puissent nos pensées vous apporter réconfort et sérénité.

Toutes mes sympathies pour la perte de cet homme différent que j’ai eu le plaisir d’avoir comme professeur de Versification au collège Ste-Marie, probablement en 1965. J’avais 15 ans et M. Jean nous avait découvrir la littérature mais aussi Gilles Vigneault qu’il semblait connaître personnellement. Et il avait le sens d’humour d’un pince sans rire. Pendant nos examens, il circulait dans les rangées, choisissait un « potache » au hasard, lui empruntait son crayon à mine, le cassait et lui retournait en disant « Brisé ». Et le pauvre élève devait terminer son examen avec un tout petit bout de crayon. C’est curieux les souvenirs que j’ai retenus de cet homme. Mais on l’aimait bien et après M. Gauthier qui nous avait enseigné la Méthode et nous avait sensibilisé aux luttes sociales, M. Jean nous avait ouvert bien d’autres portes. Je ne suis pas certain mais je crois que M. Jean a aussi enseigné à Michel Rivard qui a été un collègue de classe pendant plusieurs années. Alors une dernière salutation à un homme intelligent, cultivé et doté d’un humour amusé face aux bêtises du monde.